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Le blog du coton tige
27 octobre 2005

Bouh...

Elle m'a chopé ce matin et m'a dit: "Ah bah ça va dites-donc, il est dix heures et demie, vous faites ce que vous voulez vous avec les horaires!" (ton très méchant)
Et elle s'est barrée cette connasse.
Même pas eu le temps de lui dire que ok, j'suis à la bourre assez souvent, mais que je pars tard le soir et que résultat: j'les fait largement mes 35 heures.
Connasse.
Elle voit très bien que je suis malade à crever et qu'en plus avec une tête pareille il est évident que je suis pas bien dans mes basket.
J'ai interdit aux grosse larmes de monter.
Et je suis allée dans mon bureau.
Et depuis je fais une grève passive: je ne fous rien.
J'ai envie de rentrer chez moi parce que je me sens seule et gourde et que j'ai besoin qu'on m'aime.
Et puis j'ai la sale impression que "presque copain" ne souffre pas.

Euh... c'était lui qui était l'amoureux non?

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Commentaires
C
...vous êtes vraiment chouettes comme tout-petits amis virtuels, demain promis j'fais un coup de pub à mon best of.
G
lol, Peter Parker !
P
Un vrai philosophe ce Peter Parker...
G
Ah non ! Ah non ! Ah non !<br /> Qu'est-ce que c'est que ces histoires, là !? Un coton tige ça ne pleure pas et ça ne souffre pas ! C'est physiquement im-po-ssi-ble ! Alors à moi on ne la fait pas, hein !?<br /> <br /> Et puis d'abord c'est pas mal, la solitude : tu fais enfin ce que tu veux, quand tu veux. Plus besoin de te justifier ou de donner des explications : tu es seule maîtresse à bord. Et puis à ton tour tu peux te faire choyer par tes copines qui vont te reprendre en mains tout ça. C'est chouette, ça aussi ! Appelle ta famille, tes amis, tes tout-petits amis d'Internet. Use et abuse de leur soutien. Ca fait tellement de bien !<br /> <br /> Et puis au bout du compte toute situation difficile reste positive car elle te construit un peu plus. Comme le disait Peter Parker il n'y a pas longtemps : tout ce qui ne te tue pas te rend plus forte. Alors sers les dents, ma belle. Remonte la pente et tu n'en seras que plus fière de toi. Et nous aussi, d'ailleurs.
K
à dit un jour : (je vais résumer sinon ya 3 pages) Ô forêt que je m'éprisais tant et que parfois je ne voyais pas... maintenant que tu as disparu je ne respire plus... je me meurs, forêt mon amie revient donner du souffle à ma vie.<br /> <br /> <br /> Sorte de variante à un être vous manque....... mais avec en plus ce que je n'aime pas me manque.<br /> <br /> pour la connasse....quelle connasse vraiment !!!
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